La fille de ma meilleur amie

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il y a 9 ans

Ma meilleure amie a eu un bébé très jeune, vers l’âge de dix-huit ans. Il m’a toujours considérée comme l’une de ses tantes, et surtout sa tante préférée. Elle s’appelle Sandrine. J’aime passer du temps avec elle. Elle est joyeuse, heureuse de vivre et pleine d’entrain. Elle adorait me faire de long câlin le matin dans mon lit, et ceci en tout bien et tout honneur vu que je la considérais un peu comme ma fille.

On ne s’était pas revu depuis 5 ans, bien que l’on soit toujours restée en contact téléphonique et Internet. Cela m’avait beaucoup manqué mais les aléas de la vie font que parfois… Il y a un mois de cela, elle m’a demandé si elle pouvait venir réviser chez moi, au calme. J’acceptais avec enthousiasme après un si long moment.

Il y a à peut près dix jours de cela, je l’attendais à la gare. J’avais toujours dans la tête la jeune fille de dix-huit ans. Ce jour là je découvris une femme. Cela ne l’empêcha pas de me sauter au cou et de m’embrasser sur la bouche comme depuis toujours. Je fus un peu surprise. Contre moi, je sentis que la jeune poitrine avait pris de l’ampleur. Elle me couvrait de baisers et cela me gêna devant tous ces gens. Je la repoussais alors. Elle sembla un peu perturbée.

-Qui a t’il tantine. »

-Pas devant tout le monde! »

-Je m’en moque. »

-Oui, mais cela me gêne. »

-Bien. »

L’incident était clos et on se dirigea vers ma voiture. Une fois à la maison, on discuta très tard dans la nuit. Je ne travaillais pas le lendemain. Je fis connaissance avec les 5 ans passée loin d’elle. Elle restait évasive sur la question de ses relations intimes. Ma réaction de ce matin était totalement oubliée.

-Je peux dormir avec toi cette nuit? »

-Je, je , oui si tu veux! »

-Super! »

Elle m’embrassa à nouveau sur la bouche. J’étais dans mon lit quand elle sortit de la salle de bain en petite culotte en dentelle. Elle était devenu une femme superbe, avec des seins fermes, un ventre plat et un visage… Elle me troubla. Cela me fit drôle de la voir en culotte en dentelle alors que la dernière fois elle portait encore des culottes en coton. Je vis deux choses qui ne me fit pas plaisir.

-Ta mère est d’accord pour ton piercing au nombril et ton tatouage à l’aine? »

-Elle a été devant le fait accomplit. Tu aimes. »

-Je ne suis pas fane mais si tu te sens bien comme cela. »

-J’ai l’impression de l’entendre. »

Elle se coucha près de moi dans le lit.

-Bonne nuit tantine. » dit elle en m’embrassant encore une fois sur la bouche.

J’ai passé une nuit d’enfer avec cette bombe près de moi. Son odeur m’enivrait. Je voulais qu’une chose, la prendre dans mes bras et la cajoler. Ce fut encore plus dur lorsqu’elle se colla dans mon dos dans son sommeil. Je sentais sa poitrine jeune et ferme, son corps souple. Le supplice de tantale. Je finis par m’endormir la tête toute chamboulée. Le lendemain, pour couronner le tout, elle me fit un câlin comme elle aimait me faire. J’avoue avoir légèrement mouillé ma culotte ce matin là de sentir ce corps nu de femme contre moi. Je me mis alors à éviter tout contact physique de peur de commettre un impaire. Je ne pouvais malgré tout m’échapper de ces longs câlins, ce qui m’excitait encore plus. Elle s’inquiéta pourtant de ma réaction.

-Il y a quelque chose qui ne va pas Tantine? »

-Oui, je trouve que tu es bien assez âgée maintenant pour continuer à me faire des câlins. »

-Mais tu es ma tantine préférée et j’aime faire des câlins avec toi. »

-Je sais mais moi ça me gêne. »

-Tu ne veux plus que je te fasse des câlins? »

Le ton de sa voix était si triste que cela m’émut.

-Oui, tu peux encore m’en faire mais moins souvent s’il te plait. »

Elle me sauta dans les bras.

-Ils n’en seront que meilleurs. » et re smack sur la bouche. Ho quel tentatrice.

La semaine passa entre boulot, câlins et sommeil agité. Elle dormait de temps en temps dans la chambre d’ami et les gémissements qui me parvenaient aux oreilles m’en disaient long sur ce qu’elle faisait. Donc mon sommeil n’en était pas plus salutaire. Le samedi soir, du week-end dernier, j’acceptais de l’accompagner en boite de nuit. On dansa comme deux folles sur la piste. Je me fatiguais plus vite que elle et allais m’asseoir dans la pénombre d’une table. Je la regardais danser, jalouse de sa jeunesse et jalouse des types qui se frottaient contre elle comme des mâles en rut. Je les comprenais tellement elle était appétissante dans son chemiser blanc et sa minijupe. Elle exhibait fièrement son piercing. Je finis par trouver cela mignon sur elle.

Elle alla au toilette. Je fus prise de panique mais personne ne la suivit. Elle me rejoignit au bout de deux minutes et me tendit quelque chose.

-Tiens Tantine. Tu peux garder cela pour moi? »

Je pris ce qu’elle me tendait. C’était un bout de tissus très humide. Au contact du tissu je reconnus de la dentelle. Elle me sourit, avec malice et retourna danser. Dans la pénombre, je dépliais sa culotte et une forte odeur de musc envahit mes narines. Humm quelle odeur divine. Je ne sais à quel jeu elle jouait, mais je la trouvais un peu provocante. Je glissais sa culotte dans mon sac. Alors que je sirotais un délicieux jus de fruit, elle vint s’asseoir sur mes genoux.

-Tu t’amuses bien? » lui dis je.

-Super! Et toi? »

-On fait aller. »

Elle sourit et prit mon jus de fruit de ma main. Tout en le buvant, elle garda ma main dans la sienne. Elle posa ensuite le verre et me sourit à nouveau. Celui là avait un air de malice. Lentement elle descendit ma main entre ses jambes et la fit remonter sous sa jupe. Mes doigts arrivèrent au contact de sa peau. Je restais sans voix. Elle avait fermé les yeux. Elle déplia mes doigts et les fit courir sur sa fentine trempée. Je compris ce qu’elle voulait. Je glissais alors mon index dans sa chatte brûlante. Elle gémit discrètement. On avait des voisins assez proches.

Elle retira alors doucement ma main de dessous sa jupe et porta mon index à sa bouche. Elle me regarda à nouveau avec ce sourire malicieux et lécha avec gourmandise mon doigt. J’étais toujours sans voix. Elle replongea ma main sous sa jupe afin que je recommence l’opération. Son bassin ondula sous ma caresse. Je sentis que le pubis de la belle était aussi lisse qu’un galet sur une plage. C’est là que j’ai pensé à toi ma petite Stéphanie. Ce fut à mon tour de sucer le doigt. Sa liqueur était une pure merveille.

Elle lâcha ma main, m’embrassa sur la bouche et retourna danser. A partir de ce moment, on ne se quitta plus du regard. Elle ne dansait que pour moi, m’offrant son sourire enjôleur, ses yeux pétillant. Je sentais que mes sentiments basculaient doucement vers un autre état. Je regardais cette superbe jeune fille danser sachant qu’elle ne portait rien dessous et ça, j’étais la seule à le savoir. Elle revint vers moi et se baissa pour me parler à l’oreille.

-On rentre Tantine. Je n’ai plus envi de danser. »

Je tressaillis quand elle glissa sa langue dans mon oreille me montrant ainsi qu’elle désirait passer à autre chose. Je sentis ma petite fontaine se mettre en activité. Je la suivis hors de la boite de nuit ne quittant pas ses fesses du regard. On ne dit rien jusqu’à ce que l’on soit à la maison. Une tension érotique s’installait entre nous. Une fois la porte franchit et verrouillée, je me retournais. Elle attendait. Je lâchais ma veste et la pris dans mes bras.

-Je suis folle! » dis je doucement. « je ne dois pas faire cela! »

Tout en disant cela, je me mis à embrasser ses lèvres.

-Je t’en prie Tantine, laisse toi aller. »

-Ne m’appelle pas Tantine, c’est déjà assez dure comme cela. »

Elle ouvrit la bouche et ma langue plongea. Elle se laissa embrasser. Ses mains parcouraient mon corps. Les miennes n’étaient pas en reste. Je cajolais enfin ce corps qui m’avait tant chamboulé la première fois que je l’ai vu. Ce fut un tournoiement de langues humides et de bouches voraces.

J’arrêtais le baiser pour lui prendre la main et l’emmener dans ma chambre. Je m’assis au pied du lit. Ma douce Sandrine écarta ses jambes et s’assit sur ma cuisse nue, sa fentine humide directement sur ma peau. On reprit notre baiser alors qu’elle ondulait son basin, frottant sa petite chatte sur ma cuisse. Qu’elle jeune fille perverse. Elle embrassait bien. Je retirais son chemisier, dévoilant ainsi sa belle poitrine que je me mis à caresser. Mon chemisier disparut à son tour. Elle quitta ma bouche pour aller lécher mes seins.

Oh la coquine. Elle savait bien s’y prendre. A tour de rôle en se lécha la poitrine. Elle continuait à m’inonder la cuisse. Ma culotte était devenue aussi humide qu’une serpillière et elle ne faisait rien pour arranger les choses. On se leva afin de retirer nos jupes respectives. On s’embrassa encore et je la fis s’allonger sur le lit. Je m’installais alors tranquillement entre ses cuisses et doucement je me mis à lécher sa petite chatte humide. Jamais ce matin je me serais imaginé dans cette position avec une jeune fille que je considérais comme ma fille. J’avais déjà eu un aperçu en boite du goût de sa liqueur. Là, je me régalais. Elle me tenait la tête jouissant à gorge déployée.

-Oh continue Tantine, c’est trop bon? »

Elle avait encore dit « tantine » mais j’étais trop absorbé par ma caresse pour lui en tenir rigueur. Quand elle jouit, je dus m’agripper à ses hanches pour qu’elle ne me désarçonne pas. Elle se calma enfin et je pus remonter le long de son superbe corps, à petit coup de baiser pour finir par l’embrasser. Elle me remerciait pour le bonheur que je venais de lui procurer.

-Détend toi ma Tantine adorée! Je vais m’occuper de toi maintenant. »

Tant pis pour Tantine. Elle s’installa comme moi un instant plus tôt et je sentis sa bouche et sa langue attaquer mes chairs brûlantes. La belle savait s’y prendre. Où avait elle bien pus apprendre à s’occuper ainsi d’une femme ? Je jouis, oh mon dieu que s’était bon. Elle m’emmena doucement vers un sommet de plaisir et de jouissance. Ce fut si bon que je m’endormis sitôt après avoir jouis. A mon réveil, elle était là, me regardant avec un regard différent.

-Tu as bien dormis Tantine. »

Avais-je rêvé ? Elle se pencha et m’embrassa tendrement sur la bouche. Non je n’avais pas rêvé. Sa main glissa sur mon ventre et je sentis ma nudité. Sa langue glissa dans ma bouche.

Elle m’apprit qu’elle pratiquait le saphisme depuis qu'une amie lui avait appris que j’étais lesbienne. Elle avait voulu voir si cela lui plaisait et une amie pratiqua son éducation. Depuis elle n’avait de cesse de me revoir afin de passer un bon moment avec moi.

On passa notre dimanche à faire l’amour, vu qu’elle partait le lendemain.

Roman

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